Beaucoup trop d'auto à l'arrivée / Way too much car at the finish |
Aujourd’hui se tenait l’étape 5, une course en circuit à
Lebel-sur-Quévillon. Ceci implique donc de se rendre à Lebel-sur-Quévillon.
Nous nous sommes donc tapés deux heures de voiture avec des zones de
construction. Les zones de construction ont même assez ralenti les navettes des
coureurs et les voitures d’équipe pour que nous décidions de retarder le départ
de quinze minutes pour permettre aux coureurs de se préparer sans panique. Les
deux heures de voitures initiales ont ensuite été suivies par plus de deux
heures de voiture derrière le peloton à annoncer des échappées qui allaient
être reprises.
La course fut le théâtre d’une reprise de l’inspection de
fossé japonaise, cette fois par un coureur de l’équipe du Québec. Il a rapporté
avec lui du feuillage jusque dans le peloton lors de son retour après sa chute.
Autrement, rien d’extraordinaire outre une bourrasque de vent ayant emporté un
guide technique qui a failli aboutir en plein visage du commissaire à moto
devant le peloton. Ça aurait sûrement été de notre faute puisque c’était un
guide technique…
Environ une heure et demi après la course, incluant un
succulent spagatte, nous avons repris la route pour deux heures de plus pour
retourner à Amos. Ceci me fait penser qu’il faut brûler beaucoup d’essence pour
tenir une course de bicycles… Tout comme il faut beaucoup de winnebagos pour
faire un 1000km visant à faire bouger du monde.
Au retour à Amos, les tâches connexes du comité technique
ont inclus le remplacement de brackets de support de toit pour les vélos car
une des équipes a failli perdre sa galerie de toit complète avec les vélos
lorsque l’avant du support s’est mis à se soulever du toit! Les histoires de
char continuent en cette journée d’overdose de voiture dans une course de vélo.
Today we
had stage 5, a circuit race in Lebel-sur-Quevillon. The location of the race
implies that we needed to drive for two hours to the start of the stage,
including multiple construction zones. The roadwork caused the shuttle to be
late in Lebel and we had to delay the start by 15 minutes to allow riders to
get ready without panicking and scrambling to the start line. The initial two
hours of driving were followed by another two hours driving behind the peloton
announcing breakaways that would always be caught.
We had the
chance to witness a repeat of the Japanese ditch inspection, this time by a
Quebec team rider. He even brought back green leaves with him to the back when
he finally came back. Otherwise, the most notable event was a wind gust that
sent a technical flying. The guide almost ended up in the face of the motorbike
commissaire in front of the peloton. We would have probably been blamed for the
incident since it was a technical guide…
About an
hour and a half after the year and a delicious Lebel spaghetti plate, we hit
the road again for two hours back to Amos. This makes me think that a lot of
gasoline is burnt to host a bicycle race. And a lot of winnebagos are needed to
do 1000km by bike and motivate people to become physically active.
Back in
Amos, the side tasks of our committee included replacing the brackets holding a
bike rack on the roof of one of the team cars. That team almost lost its roof
rack full of bicycles when the wind lifted it off the roof due to the use of
the wrong type of brackets. The car stories were the real highlight of the day.
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