Voici une courte compilation d’événements inusités s’étant
produits au Tour de l’Abitibi. Évidemment, il s’en est passé des choses en 47
ans. N’hésitez pas à en ajouter en commentant l’article, votre mémoire
collective sera bien meilleure que la mienne qui, de toute façon, ne couvre que
les huit dernières années…
Des vélos sont embarqués dans la soute cargo d’un vol
Montréal-Val-d’Or et tous les bagages des autres passagers ont été laissés à
Montréal.
Un coureur se perd pendant le CLMI.
La voiture empruntée pour la semaine pour le commissaire antidopage est retournée trop rapidement par le comité du transport à son propriétaire le dimanche. Les échantillons d’urine étaient encore dans le coffre.
Dans la même veine, une erreur de lettrage a déjà identifié la même voiture sous le nom « responsable dopage ».
Une voiture d’équipe doit mettre de l’essence durant une étape.
Des policiers font du radar pendant une arrivée en circuit urbain.
Une équipe arrive sans maillots.
Un vélo de contre-la-montre stoppé à la douane est livré in-extremis pendant la nuit avant le CLMI par le commanditaire local de l’équipe, une compagnie de transport.
Un coureur remontant la caravane après une crevaison roule la tête baissée et ne voit pas une voiture de dépannage neutre arrêtée pour changer la roue d’un autre coureur. Il entrera dans la voiture par la lunette arrière et en ressortira aussitôt après avoir frappé les appui-têtes. Il abandonnera mais fera l’étape suivante comme passager dans la même voiture.
Un autre coureur remonte la caravane la tête baissée après une première chute et lorsque la caravane freine, il percute la voiture de l’équipe médicale. Il sera surnommé « Bumper » après cette double chute.
L’autobus amenant les coureurs de Montréal à Val-d’Or tombe en panne. Tous à bord passeront une nuit dans un petit motel rustique des Hautes-Laurentides.
La voiture du commissaire-chef a déjà dû faire une étape avec la petite roue de secours, une crevaison ayant été détectée heureusement avant le départ.
Un accompagnateur d’une équipe a dormi dans le lobby d’un guichet automatique après une grosse soirée au salon VIP. Les portes de la centrale étaient verrouillées et il n’a pas pensé à sonner pour appeler le gardien.
Une équipe de quatre coureurs en a perd trois sur abandon pendant la première étape.
Un coureur d’une équipe de pays en développement se fait demander lors d’un changement de roue arrière par le dépannage neutre « dix ou onze vitesses »? Sans réponse, le mécano vérifie et s’aperçoit qu’il n’en a que sept sur son vélo.
Un coureur prend un selfie après le départ d’une étape. Son iPhone sera confisqué par le commissaire chef.
Les coureurs d’un pays aux moyens limités utilisent de la pellicule cellophane pour transformer leurs casques réguliers en casques aérodynamiques pour le contre-la-montre.
Un commissaire européen dresse un topo de son passage en Abitibi dans un journal local chez lui. Aucune remarque sur la course, que sur les paysages, la forêt, les lacs et les traditions autochtones.
Une voiture de dépannage neutre échappe un vélo mal fixé au toit à 90km/h après une étape. Oups.
Une équipe « emprunte » les enjoliveurs de la voiture d’une autre équipe. Ça prendra quelques étapes avant que la supercherie ne soit découverte.
Des coureurs musulmans demandent s’il y a du porc dans les saucisses de hot-dogs au départ de l’étape de Malartic. On leur répond qu’on ne sait pas trop ce qu’il y a dans des saucisses hot dogs mais qu’il y a « probablement » du porc. Ils mangèrent des pains avec de la relish, de la moutarde et du ketchup.
Un coureur se perd pendant le CLMI.
La voiture empruntée pour la semaine pour le commissaire antidopage est retournée trop rapidement par le comité du transport à son propriétaire le dimanche. Les échantillons d’urine étaient encore dans le coffre.
Dans la même veine, une erreur de lettrage a déjà identifié la même voiture sous le nom « responsable dopage ».
Une voiture d’équipe doit mettre de l’essence durant une étape.
Des policiers font du radar pendant une arrivée en circuit urbain.
Une équipe arrive sans maillots.
Un vélo de contre-la-montre stoppé à la douane est livré in-extremis pendant la nuit avant le CLMI par le commanditaire local de l’équipe, une compagnie de transport.
Un coureur remontant la caravane après une crevaison roule la tête baissée et ne voit pas une voiture de dépannage neutre arrêtée pour changer la roue d’un autre coureur. Il entrera dans la voiture par la lunette arrière et en ressortira aussitôt après avoir frappé les appui-têtes. Il abandonnera mais fera l’étape suivante comme passager dans la même voiture.
Un autre coureur remonte la caravane la tête baissée après une première chute et lorsque la caravane freine, il percute la voiture de l’équipe médicale. Il sera surnommé « Bumper » après cette double chute.
L’autobus amenant les coureurs de Montréal à Val-d’Or tombe en panne. Tous à bord passeront une nuit dans un petit motel rustique des Hautes-Laurentides.
La voiture du commissaire-chef a déjà dû faire une étape avec la petite roue de secours, une crevaison ayant été détectée heureusement avant le départ.
Un accompagnateur d’une équipe a dormi dans le lobby d’un guichet automatique après une grosse soirée au salon VIP. Les portes de la centrale étaient verrouillées et il n’a pas pensé à sonner pour appeler le gardien.
Une équipe de quatre coureurs en a perd trois sur abandon pendant la première étape.
Un coureur d’une équipe de pays en développement se fait demander lors d’un changement de roue arrière par le dépannage neutre « dix ou onze vitesses »? Sans réponse, le mécano vérifie et s’aperçoit qu’il n’en a que sept sur son vélo.
Un coureur prend un selfie après le départ d’une étape. Son iPhone sera confisqué par le commissaire chef.
Les coureurs d’un pays aux moyens limités utilisent de la pellicule cellophane pour transformer leurs casques réguliers en casques aérodynamiques pour le contre-la-montre.
Un commissaire européen dresse un topo de son passage en Abitibi dans un journal local chez lui. Aucune remarque sur la course, que sur les paysages, la forêt, les lacs et les traditions autochtones.
Une voiture de dépannage neutre échappe un vélo mal fixé au toit à 90km/h après une étape. Oups.
Une équipe « emprunte » les enjoliveurs de la voiture d’une autre équipe. Ça prendra quelques étapes avant que la supercherie ne soit découverte.
Des coureurs musulmans demandent s’il y a du porc dans les saucisses de hot-dogs au départ de l’étape de Malartic. On leur répond qu’on ne sait pas trop ce qu’il y a dans des saucisses hot dogs mais qu’il y a « probablement » du porc. Ils mangèrent des pains avec de la relish, de la moutarde et du ketchup.
Here is a
short compilation of unusual events that happened at the Tour de l’Abitibi. A
lot more did happen in 47 years of history so don’t hesitate to add your own
stories in the comments section. Your collective memory will be much better
than mine, which only covers the last eight years anyways.
Bikes from
a team were loaded on a plane from Montreal to Val-d’Or. All luggages from
other passengers were left behind.
A rider
gets lost during the ITT.
The car
borrowed for the week and assigned to the anti-doping commissaire is returned to
its owner a little too quickly on Sunday. The urine samples were still in the
trunk.
Along the
same line, the car assigned to anti-doping was once lettered with the
equivalent of “Doping official” in French.
A team car
did have to stop for gas during a stage.
Speed traps
were once set up by police officers on the finishing circuit.
A team did
get to Abitibi without their official jerseys.
A TT bike
was delivered just-in-time during the night before the ITT by the team’s local
sponsor, a trucking company.
A rider
coming back through the caravan after a puncture was riding head down and did
not see a neutral assistance car stopped for another’s rider puncture. He went
straight in and back out the back window. Many stitches later, he rode in the
same car for the next day’s stage.
Another rider
coming back head down through the caravan after a crash did not see the cars
brake and hit the medical car. He was nicknamed “Bumper” after his double
crash.
The bus
bringing riders to Val-d’Or breaks down halfway up. All people on board will spend
a lovely night in a small motel of the upper Laurentians.
The head
commissaire’s car had to use the spare donut wheel for a stage, a leaking tire
having been detected right before the start.
A staff
member of a team had to spend a night in the lobby of an ATM after a tough
evening at the VIP lounge. He was locked outside and never thought of calling
the security guard to open the door.
A
four-rider team had three of its riders drop out after stage 1.
A rider
from a developing country punctured. He could not answer in French or English
when asked if he needed a 10 or 11 speed cassette. The mechanic looked down and
realized he had a seven speed cassette.
A rider took
a selfie after the start of a stage. His iPhone was confiscated by the
head commissaire.
Riders from
another developing country used Saran-Wrap to turn their regular helmets into
aero TT helmets.
A European
commissaire writes a piece about his experience at the Tour de l’Abitibi in a
local newspaper back home. Not a word about the race. All about the lakes,
countryside and native traditions.
A neutral
assistance car drops a bike from the roof rack coming back from a stage at
90km/h. Oops.
A team “borrows”
hubcaps from another team’s car. It went unnoticed for several stages.
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